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Les pensées économiques libéralisme à l'interventionnisme

Les pensées économiques libéralisme à l'interventionnisme

Les bases des pensées économiques Du libéralisme à l’interventionnisme

Les pensées économiques libéralisme à l'interventionnisme
Dissertation : les pensées économiques libéralisme à l'interventionnisme 

INTRODUCTION:

Comment fonder l’ordre économique et social à partir des écoles de pensée (classique, néoclassique, keynésienne), est la problématique qui a donné naissance au courants des pensées économique. Dans un cadre épistémologique bien étant la référence de base de ces pensées. Malgré la différentiation de la manière par laquelle chaque école a été théorisé et formaliser tout au long de l’Histoire. Cependant, l’objectif était d’apporter des lois qui régissent l’ordre économique et social. D’où l’origine de la 1ere appellation de notre discipline ECONOMIE POLITQUE, qui peut être définit dans l’ordre économique assimilé au marché, et dans l’ordre politique assimilé à l’état, bien que ces 2 derniers vont de pair.

Or les mutations mondiales lourdes et approfondis suivis par la mondialisation, et l’apparition des NTIC vont être le point de tournant des bases théorique, dans le cadre de référence des courants de pensées?

Les penseurs du libéralisme avancent que l’équilibre général du marché est atteint automatiquement sans aucune intervention de l’état, (ETAT GENDARME) gardant seulement le champ juridique, la santé, l’armée. A cette époque caractérisée par la stabilité sociale et la croissance économique (30 GLORIEUSES), la création des richesses va devenir les soucis majeurs de des 2 pensées classique et néoclassique.
Selon Adam Smith, l’un des fondateurs de l’école classique, l’équilibre du marché est atteint automatiquement par l’idée de l’individu libre et autonome dans ses choix, qui va conduire chaque individu à se spécialiser dans son propre domaine. En fait, cette vision microéconomique, partant de l’équilibre individuelle, est suivie naturellement par un équilibre macroéconomique. Traduit pour Adam Smith comme une MAIN INVISIBLE dans son ouvrage : la création des richesses 1776, et la notion LAISSER FAIRE – LAISSER PASSER qui donne une harmonisation des intérêts individuels, et résulte par un équilibre général. Notamment, la C°, la P°, et la R° des richesses va devenir la base de l’économie politique, et que L’OFFRE CRÉE SA PROPRE DEMANDE, qui se transformera en une loi de débouché de J.B Say, avec OG=DG, donc pas de crise. C’est ainsi que l’économie ne nécessitera jamais une intervention de l’état selon les classiques.  

L’ensemble des pensées classique vont donner une plateforme au néoclassique, qui vont rendre la théorie une science calculable. Pour eux l’économie est devenue une science d’allocation optimale des ressources rare. Walras à découper le marché en 3 grands axes : MARCHE DE CAPITAL / MARCHE DE TRAVAIL / MARCHE DE BIENS ET DE SERVICES,  avec les 5 hypothèses de la Concurrence pur et parfaite, reste le seul système qui amènera à l’EQUILIBRE.
La crise de 1929 a été le point de rupture et de changements de plusieurs bases théoriques, J.M.Keynes va expliquer par la suite que la crise de surproduction O>D observé  à la bourse de WALL STREET, va casser la loi de débouché de J.B.Say, ce qui fait que l’offre ne crée pas sa propre demande. En conséquence le sous emploie apparut, engendré par l’inflation, une situation qui nécessite selon Keynes une intervention immédiate de l’état sur la matière économique, pour garder l’équilibre général.

Pour J.M on est dans une situation de sous emploie, avec la notion de non-atomicité de l’équilibre. C'est-à-dire que l’EQ  n’amène pas naturellement à un EQ Macro. Keynes refuse la neutralité de la monnaie chez les néoclassique, refuse aussi la vision microéconomique, et pense d’ailleurs que l’équilibre générale se fait à partir de l’équilibre macroéconomique. Cette idée est la cause pour laquelle J.M fait appel à l’intervention de l’état qui doit pratiquer des POLITIQUE MONÉTAIRE, par la diminution du taux d’intérêt, pour stimuler l’investissement. Et aussi une POLITIQUE BUDGETAIRE, par la diminution des recettes et l’augmentation des dépenses, en cas de crise. En conséquent, l’état est la seule susceptible de pratiquer ces politiques donc elle doit intervenir sur la matière économique pour garder l’équilibre général.

CONCLUSION :

Malgré le succès qu’a connais la théorie keynésienne dans sa capacité à résoudre les problèmes dans cette époque, ainsi que son efficience pour remettre l’équilibre général, cette théorie qui a défendus l’inflation, va se trouver face à la stagflation (chômage + inflation), face aussi à plusieurs critiques successives des monétaristes.

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